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Rennes : Un homme de 40 ans, déjà condamné 24 fois, incarcéré pour le meurtre et le viol d’une septuagénaire. 

Le 2 avril 2025, un homme de 40 ans, déjà condamné à 24 reprises, a été mis en examen et incarcéré pour le meurtre et le viol d’une septuagénaire retrouvée morte à son domicile à Rennes. Cette affaire, choquante par sa brutalité, met en lumière la violence de l’agression subie par la victime.

Le 26 mars, en fin de matinée, les secours ont trouvé une femme de 73 ans dans un état critique. Elle était en arrêt cardiaque, son visage tuméfié et couvert de sang, victime de multiples traumatismes. Le corps dénudé de la victime, en partie vêtu d’un soutien-gorge et d’un pull, a révélé la violence de l’agression. Malgré les efforts pour la réanimer, la victime est décédée sur place.

Dès les premières constatations, les enquêteurs ont privilégié la piste d’un meurtre accompagné d’un viol, d’autant plus que des emballages de préservatifs ont été retrouvés sur la scène du crime. L’autopsie a confirmé que le décès était dû à des fractures crâniennes et des hémorragies internes. En parallèle, une boîte à bijoux volée a été retrouvée dans un jardin voisin.

L’enquête a rapidement mené à un suspect déjà bien connu de la justice. Cet homme, âgé de 40 ans et fréquentant une structure sociale proche de la scène du crime, a été interpellé lundi. Bien qu’il ait nié toute implication, son ADN retrouvé sous les ongles de la victime et sur une bouteille d’eau trouvée dans le jardin voisin, ainsi que la description fournie par les témoins, l’ont mis en cause.

Le suspect, dont le casier judiciaire compte 24 condamnations pour des délits variés (vols, violences, agressions sexuelles et infractions liées aux stupéfiants), avait été incarcéré en mai 2023, avant d’être libéré en décembre 2024. Il a maintenant été mis en examen pour meurtre et viol, crimes passibles de la réclusion à perpétuité. Il fait également face à une accusation de vol concernant les biens de la victime.

Cette affaire met en lumière les dangers liés à la récidive et soulève des questions sur la gestion des peines. L’enquête est toujours en cours, et les autorités font tout leur possible pour faire toute la lumière sur ce crime sordide.

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